Une capitale où se côtoient les
« métiers de bouche »
dans leur plus grande diversité : les boulangeries
et leurs innombrables pains, baguettes, flûtes,
miches,… les pâtisseries et leurs babas,
éclairs, Saint-Honorés, Paris-Brest, ... les
charcuteries et leurs saucisses, saucissons, jambons,
roulés, vol au vent ,… les boucheries et
leurs entrecôtes, rosbifs, gigots, côtelettes,
paupiettes,…, les chocolateries et leurs palets d'or,
pralines, ganaches, orangettes,… les fromagers et leurs
camemberts, bries, roqueforts, chèvres,
Comtés,… les cavistes et leurs crus de Bourgogne,
Bordeaux, Côtes du Rhône, Languedoc, Alsace,
Jura,… les boutiques d'arts de la table et leurs assiettes
plates, creuses, à dessert, de présentation,
leurs verres à eau, à vin rouge, à vin
blanc, à porto, à champagne, leurs nappes,
sous-nappes, napperons,… et les restaurants qui
réunissent à eux seuls l'ensemble de ces
métiers en des lieux tout entiers
dédiés au bonheur des convives.
Les restaurants sont des lieux imprégnés chacun
d'une personnalité forte et sont tous très
différents les uns des autres. Cette grande
diversité fait la richesse de la restauration à
Paris.
Une restauration qui se prépare à accueillir au
mieux les convives chinois qui sont, nous le savons,
habitués à goûter et
apprécier la gastronomie de haut niveau. Ne dit-on pas,
d'ailleurs, qu'il existe deux cuisines dans le monde : la
chinoise et la française ?. |